La pression monte Je ne réfléchis plus Même si je tombe Mon instinct prend le dessus

J’ai choisi ce chemin sans savoir où il mène Comme un futur incertain, je suis cette vie qui est une chienne Je prends la peine de me lever le matin Pour les gens qui nous soutiennent, pour cette tribu que j’aime Pourquoi je ferai quelque chose que je n’ai pas envie de faire ? Je préfère rester dans ma bulle, au moins j’y respire un peu d’air C’est ma thématique et j’en suis fière C’est mathématique, j’ai l’esprit clair Je lève mon doigt à tous ceux qui se donnent le droit de casser nos rêves, de filtrer nos choix, de s’approprier les trésors d’autrefois Je lève mon doigt à tous ceux qui se donnent le droit de casser nos rêves, de filtrer nos choix J’ai l’esprit clair, c’est ma thématique Aujourd’hui je prouve que c’est en cherchant qu’on trouve le déclencheur intéressant, le fil conducteur étincelant, le thème authentique, la recette atypique qui définit ma thématique Choisir son thème, Devenir confiant Rester sois même,Ouvrir ses ailes, Impunément Mon thème se tisse toujours de façon naturelle J’additionne les mots pour en faire quelque chose d’intemporel Je soustrais mes peines en faisant ce que j’aime, laisser mon rêver et que personne ne me réveille C’est comme un sommeil conscient, le résultat d’une division qu’on appelle souvent quotient Un focus sur ce que nous sommes essentiellement Choisir son thème Trouver son clan Rester conscient Tu n’es qu’un grain de sable dans l’océan Aujourd’hui je prouve que c’est en cherchant qu’on trouve, le déclencheur intéressant, le fil conducteur étincelant, le thème authentique, la recette atypique qui définit ma thématique

TA DIGEDIGNATINE A DAG A TINA DAG IN A TAC A TINA KE TA DA DIGEDIGNATINE A DAG A TINA KINA TA DIGEDIGNATINE A DAG A TINA DAG IN A TAC A TINA KE TA DA DIGEDIGNATINE A DAG A TINA GA Je regarde le ciel, je lui demande aussitôt est-ce que je bientôt crever ou bien vais je renaître à nouveau ? J’aimerai faire comme si tout était possible Je risque de tomber de haut Ma vie prochaine sera plus paisible Trop de choses me semblent inaccessibles Je vais préparer mon tombeau car notre avenir est lisible Taper plus fort sachant qu’on vit après la mort Renaître encore Anticiper notre sort Devenir complice avec le cycle En finir sans remord n’est plus possible aujourd’hui J’aimerai comme vous croire au paradis Se dire qu’on vit après la mort Une promesse sans garantie Une vie après l’effort Ça recommence à l’infini Encore et encore Je ne crains pas la mort En finir sans remord n’est plus possible aujourd’hui J’aimerai comme vous croire au paradisÂme sans corps Inaccessible Perdu dans le vide à tout jamais Sous l’emprise du néant Seul, condamné À tout jamais Âme abandonnée Abandonné Le soulagement de la deuxième chance Plus jamais peur de se tromper Il y a juste à entrer dans la danse En oubliant ce qu’il peut nous arriver Je finirai toujours par trouver un autre corps à souiller Peu de conscience, pas de limite Je veux vivre ma vie comme un trip Devenir complice avec le cycle

Ils ont vidé nos poches sans rien nous laisser C’est pas qu’on en demande trop mais la il n’y vraiment pas assez Être obligé d’en venir aux mains Le moyen qu’il nous reste si on veut d’un lendemain Pour la bonne cause, on s’y oppose C’est clair qu’on rêve tous de métamorphose mais ce n’est qu’après la guerre qu’on changera les choses La vie perd de son goût La gouvernance nous sert le cou La fin est triste, inévitable mais il faut aller jusqu’au bout À séparer l’inséparable À démonter leur mascarade Leur faire perdre la tête Les balancer aux oubliettes Sans se baisser pour autant Faudra bien vivre avec On vit dans le dernier temps Il faut peser nos gestes Que va-t-on dire à nos enfants ? Il ne reste que des miettes Voila ce qu’il nous reste Voila ce qu’il nous reste Il n’y a rien de plus cher à mes yeux que de devenir L’un des derniers chanceux qui croit encore en l’avenir Quelque chose cloche, je les sens arriver Je suis souvent proche de la vérité Ce serait trop beau de pouvoir donner son avis sans pour autant être obligé de suivre des abrutis Les lois sont déguisables du moment qu’elle leur sont profitables Je vous invite à ouvrir les yeux pour voir la couleur d’un monde anxieuxDes choses horribles vont arriver Il faut bien se l’avouer Prenez-moi pour un pessimiste Je m’y suis préparé Tout reprendre qu’on en finisse Sortir poing levé Que le haut de la tour se brise Faire tomber les gens du sommet

Vous m’avez juste horrifié ! Ouais ! Vous m’avez foutu le cafard J’aimerais pouvoir vous terminer pour effacer tout nos déboires Vous m’avez juste horrifié Vous m’avez foutu le cafard J’aimerais pouvoir vous terminer pour oublier mes idées noires La terre moribonde Le monde m’horrifie Que mes démons me protègent de la lumière Qu’ils me guident vers un monde où tout n’est pas à refaire On oublie souvent que la vie peut nous glisser des doigts , de profiter de chaque moment comme ci c’était la dernière fois Ne me dis pas que la vie est belle, moi je la vois partir en fumée, se dirigeant vers une semelle comme un cafard sans intérêt Tellement de choses à affronter, tellement loin du sommet J’ai essayé tu sais mais j’ai recommencé Sans avoir vu la toile se tisser, je me suis fait avoir comme un vulgaire cafard Vous m’avez juste horrifié ! Ouais ! Vous m’avez foutu le cafard J’aimerais pouvoir vous terminer pour effacer tout nos déboires Vous m’avez juste horrifié Vous m’avez foutu le cafard J’aimerais pouvoir vous terminer pour oublier mes idées noires La terre moribonde Le monde m’horrifie Chaque jour est un nouveau combat Je n’ai que l’illusion du choix, la foi m’a glissé des doigts Comme un cafard pile je crève, face je meurs… Oups Déjà trop tard je n’ai pas vu arriver mon heureJe prends ma vie à la légère, j’essaye de passer à travers En pensant à l’en droit j’ai très vite manqué d’air si je fais encore un pas, je finis six pieds sous terre Vous m’avez juste horrifié ! Ouais ! Vous m’avez foutu le cafard J’aimerais pouvoir vous terminer pour effacer tout nos déboires Vous m’avez juste horrifié Vous m’avez foutu le cafard J’aimerais pouvoir vous terminer pour oublier mes idées noires Vous m’avez foutu le cafard Vous m’avez juste horrifié Que mes démons me protègent de la lumière Qu’ils me guident vers un monde où tout n’est pas à refaire Je prends ma vie à la légère, j’essaye de passer à travers La terre moribonde Le monde m’horrifie

Tout doit recommencer La plaie est infectée Trop longtemps qu’on la blesse, qu’on saccage ses richesses C’est pas faute d’essayer mais faut pouvoir accepter la défaite avant de récidiver Oh éphémère ! De la terre à la terre Oh éphémère ! Trop peu d’oreilles ont entendu l’appel Un tri par le vide, retrouver l’essentiel À tout prix on essaye de colmater les séquelles Laissons se reposer la terre car elle a sommeil Franchir le seuil des conséquences Bâtir le cercueil de la descendance À grands coups de poignards Revenir au point de départ Trop peu d’oreilles ont entendu l’appel Un tri par le vide retrouver l’essence même Ralentir les machines Pas plus vite que le rythme des racines Nettoyer la terre de l’homme Lui confisquer le trône Nettoyer la terre de l’homme Enterrer sa couronne J’observe le bon qui s’échappe Quand plus rien n’est intact Je ne crois pas au miracle D’où je suis je constate comme je suis je constate

Le temps change et la roue tourne C’est dans l’urgence que se bouscule la foule Agissons que la tour s’écroule Capharnaüm Dans les bas-fond le peuple s’agglutine Du plafond le vice dégouline Bienvenue en terre hostile Le grand dessin est bordélique Nos plus grandes fautes sont systématiques Les dieux ne sont que de pâles répliques D’un idéal juteux antipathique Tout s’empile et se mélange dans la grande ville étouffante Changement de rythme et de cadence On ne peut plus vivre sans méfiance Le ciel va nous tomber sur la tête Modernité dans l’air L’absurdité de l’homme nous rappelle notre dette qui nous mène au capharnaüm La solution est introuvable dans ce capharnaüm Dois je faire confiance au grand dessein ? Lui confier mon destin ? La réponse est improbable dans ce capharnaüm Dois je faire confiance au grand dessein ? Lui confier mon destin ? Le temps change et la roue tourne C’est dans l’urgence que se bouscule la foule Agissons que la tour s’écroule Capharnaüm Dans les bas-fond le peuple s’agglutine Du plafond le vice dégouline Tenir bon en terre hostileLes uns sur les autres arrosés de pluies toxiques Surpeuplé À qui la faute ? Cela relève du fantastique Nous devons tout faire pour suivre le tempo Prendre le taureau par les cornes Battre le fer tant qu’il est chaud Nous devons passer par le bordel, le chaos Refuser ce qu’ils nous donnent Repartir à zéro Le clash millénaire sans doute Si ça va bien finir ? J’en doute Dans ce putain de vase il manque une goutte Ce n’est pas la première fois mais c’est peut être la dernière cette fois Tomber aussi bas que terre Nez à nez avec notre mère Le clash millénaire sans doute Si ça va bien finir ? J’en doute Dans ce putain de vase il manque une goutte

UH UH RUTAH UH OUGAZEYSEY RUTAH MEYTEY WATAKA MINGAWAH Une fois la nuit tombée je peux l’entendre chuchoter Sa douce voix m’appelle je me sens possédé Mon sang glacé, mes poils givrés tu ne me vois pas tu ne sais comment lutter J’entends sa voix s’immiscer dans le vent (Je suis la)pour qu’à tout prix je l’aime éternellement Elle m’a ensorcelé à chacun de tes pas je serai derrière toi Elle est bien trop souvent coincée dans mes pensées Prête à tout faire pour que je passe de l’autre coté elle connaît mes faiblesses , et sait me faire chavirer je ferai tous ce qu’il faut pour que tu ne sois rien qu’à moi Elle m’a ensorcelé je ne sais pas comment lutter Elle m’a ensorcelé je suis comme envouté Des courbes dessinée par le plus fin des pinceaux un esprit malade qu’elle ne prend pas pour fardeau Cette sorcière est à la fois le plus beau des cadeaux et le pire des fléaux J’aimerai tellement la délivrer qu’elle n’attende plus ma mort Pour qu’elle repose enfin en paix sans se sentir blessée à tort et à travers Un jour sans me condamner j’espère que je pourrais la retrouver tu ne me vois pas tu ne sais comment lutter à chacun de tes pas je serai derrière toi je ferai tous ce qu’il faut pour que tu ne sois rien qu’à moij’aimerai tellement sentir son corps enfin trouver le contre sort l’amour flou bloqué entre ciel et terre à chacun de mes pas je sens que tu es derrière moi Elle m’a ensorcelé je ne sais pas comment lutter Elle m’a ensorcelé je suis comme envouté des frissons me submergent quand elle me transperce L’amour flou bloqué entre ciel et terre Je suis maudit par cette sorcière à chacun de tes pas je serai derrière toi un sentiment d’amour trop prononcé mon sang ne fait qu’un tour quand elle passe à coté sans prendre la peine de me cacher qu’elle me veut cadavéré je veux sentir ton corps gelé, le caresser à la frontière de l’au-delà son âme ne se reposera pas des visions d’horreur je ne peux qu’avoir peur c’est bien toi l’heureux élu je t’assure que tu ne seras pas déçu je t’emmène tu n’as pas le choix âme en peine, viens jusqu’à moi Je peux la voir danser dans le noir Je devine ses formes chargées d’espoir elle m’entraîne je fais le dernier pas âme en peine dessinant mon trépas

Sans défense face à des indigents On me dit « sauvage » bien trop souvent Je cultive la paix, respecte la terre et comprend son fonctionnement Mais des prétendants savants ont affronté la mer des mois durant Pour conquérir nos terres et massacrer nos enfants Apparemment indigène Visage pâle y a vu un problème Chassé comme du gibier Capturé, grugé, dépouillé J’aimerai pouvoir changer l’histoire juste avant qu’il ne soit trop tard Déterrer les tomahawks Faire de leur voyage un cauchemar Sans défense face à des indigents On me dit « sauvage » bien trop souvent Ils se prétendent savant mais n’ont aucun scrupule à abattre des gens J’aimerai pouvoir revenir dans le temps Changer l’histoire, changer de camps Trompé, spolié, exterminé L’histoire nous ment, nous sommes bien loin du cowboy innocent Trompé, spolié, exterminé La quête de l’amiral prend un sens tout à fait différentDerrière se cache un génocide mais ça ne rend pas l’Amérique plus sensible Une trahison humaine sois disant guidée par le ciel Pâle son visage est pâle Derrière se cache le mal Derrière se cache les armes Ils ont sali nos totems brulé nos croyances indigènes Nous sommes des sauvages Sans défense face à la religion Visage pâle habité par le démon Priant les anges, amis de la mort En totale contradiction Empoisonné par des mensonges Secoué pour que l’espoir tombe AKISATA AKISASA

Des messages difficiles à déchiffrer Sur gage d’acquérir un esprit élaboré Le sage écarte les nuages, m’éclaire le passage, me rend la vie abordable Je suis le gendre d’une plante coriace qu’on efface pas si facilement Un aura défiant l’audace, des racines qui tiennent dans le temps Je te donnerai mon énergie autant que tu me l’as transmise Tes derniers jours seront plus heureux je veux y mettre une garantie Je n’oublierai jamais tes messages cryptés Ce que tu m’as suggéré, jamais imposé, juste canalisé Mon soleil éternel Je sais que ton esprit, ta goutte voyagera au firmament La vieillesse de son âme dépasse l’entendement La sagesse de ses mots te gifle quand tu mensonges Le guide est hors du temps, vois les couleurs différemment Fidèle serviteur du printemps, mauvaise herbe du présent Fondateur philanthropique De ses doigts ressort quelque chose de magique Héréditaire énergie À la mort à la vie Chaman partisan de synergie Étoile céleste de l’infini, je te donnerai mon énergie autant que tu me l’as transmise Tes derniers jours seront plus heureux je veux y mettre une garantie

C’est vrai certains démons m’envient d’être plus méchant qu’eux À chaque fois encore plus surpris d’entendre mes idées vicieuses J’adore entendre les gens qui souffrent Ça réveille chez moi pas mal d’idées enfouies qui m’habillent d’un sourire narquois Je vais m’arracher le cœur de sang froid Et tu verras ce qui a taché mon chakra à la noirceur de mes choix Des cornes me poussent du crâne Des cornes me poussent du crâne Je vis l’esprit du mal Je suis génie du mal La plus forte des lumières passera inaperçue Seul dans l’obscurité elle peut être perçue Ce que nous enseigne les étoiles n’est pas souvent compris car c’est dans le noir le plus total que se retrouvent les âmes meurtries Pour moi tes cauchemars sont mes rêves Tu pries en vain pour que ça s’arrête C’est vrai que la haine coule dans mes veines et que c’est la folie dans ma tête Il a toujours été trop tard Je peux pas nier c’est dans mes gènes T’as juste à balancer un regard pour comprendre que j’ai un problème

(Instrumental)

T’as voulu voir Vierzon Et on a vu Vierzon T’as voulu voir Vesoul Et on a vu Vesoul T’as voulu voir Honfleur Et on a vu Honfleur T’as voulu voir Hambourg Et on a vu Hambourg J’ai voulu voir Anvers On a revu Hambourg J’ai voulu voir ta sœur Et on a vu ta mère Comme toujours T’as plus aimé Vierzon On a quitté Vierzon T’as plus aimé Vesoul On a quitté Vesoul T’as plus aimé Honfleur On a quitté Honfleur T’as plus aimé Hambourg On a quitté Hambourg T’as voulu voir Anvers On n’a vu qu’ses faubourgs T’as plus aimé ta mère On a quitté ta sœur Comme toujours Mais, je te le dis Je n’irai pas plus loin Mais, je te préviens J’irai pas à Paris D’ailleurs, j’ai horreur De tous les flonflons De la valse musette Et de l’accordéon T’as voulu voir Paris Et on a vu Paris T’as voulu voir Dutronc Et on a vu Dutronc J’ai voulu voir ta sœur J’ai vu le Mont-Valérien T’as voulu voir Hortense Elle était dans l’Cantal Je voulais voir Byzance Et on a vu Pigalle À la gare Saint-Lazare J’ai vu Les Fleurs du Mal Par hasard T’as plus aimé Paris On a quitté Paris T’as plus aimé Dutronc On a quitté Dutronc Maintenant, j’confonds ta sœur Et le Mont-Valérien De c’que je sais d’Hortense J’irai plus dans l’Cantal Et tant pis pour Byzance Puisque que j’ai vu Pigalle Et la gare Saint-Lazare C’est cher et ça fait mal Au hasard Mais, je te le redis, chauffe Marcel, chauffe Je n’irai pas plus loin Mais, je te préviens, kaï ! kaï ! kaï ! Le voyage est fini Je n’irai pas à Paris D’ailleurs, j’ai horreur De tous les flonflons De la valse musette Et de l’accordéon, chauffe T’as voulu voir Vierzon Et on a vu Vierzon T’as voulu voir Vesoul Et on a vu Vesoul T’as voulu voir Honfleur Et on a vu Honfleur T’as voulu voir Hambourg Et on a vu Hambourg J’ai voulu voir Anvers On a revu Hambourg J’ai voulu voir ta sœur Et on a vu ta mère Comme toujours T’as plus aimé Vierzon On a quitté Vierzon, chauffe, chauffe, chauffe T’as plus aimé Vesoul On a quitté Vesoul T’as plus aimé Honfleur On a quitté Honfleur T’as plus aimé Hambourg On a quitté Hambourg T’as voulu voir Anvers On n’a vu qu’ses faubourgs T’as plus aimé ta mère On a quitté ta sœur Comme toujours, chauffez les gars Mais, je te le reredis, kaï ! Je n’irai pas plus loin Mais, je te préviens J’irai pas à Paris D’ailleurs, j’ai horreur De tous les flonflons De la valse musette Et de l’accordéon T’as voulu voir Paris Et on a vu Paris T’as voulu voir Dutronc Et on a vu Dutronc J’ai voulu voir ta sœur J’ai vu le Mont-Valérien T’as voulu voir Hortense Elle était dans l’Cantal Je voulais voir Byzance Et on a vu Pigalle À la gare Saint-Lazare J’ai vu Les Fleurs du Mal Par hasard. Auteur-compositeur du morceau original: Jacques Brel. © Éditions Jacques Brel, Bruxelles, 1968. Paroles par Jacques Brel Musique par Mingawash